Hierarchical Bayesian models of length-specific catchability of research trawl surveys

To estimate absolute abundance from research trawl surveys, the catchability of the fish to the gear must be known or estimated. Using 47 data sets of length-specific catchability, we conducted a hierarchical Bayesian metaanalysis of length-specific catchability for a number of different species groups. It was found that the Bayesian estimates of catchability were seldom near or above 1 for any species or size. This suggests that any assumption that swept-area abundance estimates are in fact absolute abundance would likely underestimate the true abundance. Catchability was higher for haddock (Melanogrammus aeglefinus) than for Atlantic cod (Gadus morhua) of the same size, suggesting behavioural differences between these two species. We found a seasonal difference in catchability with higher catchability for surveys in summer–fall than for those in spring–winter. The results of this study can be applied both for the reconstruction of fish community structure for ecosystem models and as auxiliary (or prior) information for single-species stock assessment where catchability is estimated within the stock assessment procedure. Résumé : Il faut connaître ou estimer la capturabilité des poissons en fonction l’engin de pêche pour pouvoir estimer l’abondance absolue à partir de données d’inventaires scientifiques faits au chalut. À l’aide de 47 séries de données de capturabilité d’après la longueur, nous avons fait une méta-analyse hiérarchique bayésienne de la capturabilité d’après la longueur chez plusieurs groupes spécifiques. Les estimations bayésiennes sont rarement près de 1 ou supérieures à 1 pour quelque espèce ou taille que ce soit. Donc, en supposant que les estimations de l’abondance sur la surface échantillonnée représentent la véritable abondance absolue on sous-estime l’abondance réelle. La capturabilité est plus grande pour l’Aiglefin (Melanogrammus aeglefinus) que pour la Morue (Gadus morhua) franche de même taille, ce qui suppose des différences de comportement entre les deux espèces. Il existe des différences saisonnières dans la capturabilité, les valeurs étant plus grandes en été et en automne qu’au printemps et en hiver. Les résultats de notre étude peuvent s’appliquer à la reconstitution de la structure de la communauté icthyenne pour utilisation dans les modèles d’écosystèmes et servir de données auxiliaires (ou a priori) pour l’évaluation de stocks monospécifiques, lorsque la capturabilité est estimée par des procédures d’évaluation des stocks. [Traduit par la Rédaction] Harley and Myers 1584